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Pleure pas petite sirène,
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La ville dort encore,
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Ton histoire commence à peine.
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Pleure pas petite sirène,
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Le jour attend dehors,
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Dans les brumes des fontaines.
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Ce matin est si clair,
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Ce silence est si doux,
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Des paroles d'hommes flottent dans l'air,
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Tout le monde a rendez-vous.
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La nuit est passée toute entière,
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Creusée sur nos joues.
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Tu déchires tout d'un trait de lumière,
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Et c'est la vie tout à coup...
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La vie tout à coup.
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Pleure pas petite sirène,
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La ville dort encore,
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Ton histoire commence à peine.
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Pleure pas petite sirène,
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Le jour attend dehors,
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Dans les brumes des fontaines.
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Ça se voit que tu viens de chez les anges
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T'es belle comme tout.
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Ça se voit que nos manières te dérangent,
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Et ces lumières partout.
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Tout ces fantômes qui te touchent,
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Ces mains qui te secouent,
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Cette bouffée d'air froid dans ta bouche
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C'est la vie tout à coup...
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La vie tout à coup.
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Pleure pas petite sirène,
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La ville dort encore,
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Ton histoire commence à peine.
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Pleure pas petite sirène,
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Le jour attend dehors,
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Dans les brumes des fontaines.
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Voilà que tu viens comme une reine,
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Juste à la pointe du jour,
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Avec dans son écho de porcelaine,
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Ton appel au secours.
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Comme un signal pour que s'égraine,
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Ce temps qui s'enfuit à son tour,
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D'abord les heures, les jours, les semaines,
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Et puis les années d'amour...
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Les années d'amour.
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Pleure pas petite sirène,
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La ville dort encore,
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Ton histoire commence à peine.
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Pleure pas petite sirène,
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Le jour attend dehors,
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Dans les brumes des fontaines.
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Pleure pas petite sirène...
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Pleure pas petite sirène,
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Le jour attend dehors,
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Dans les brumes des fontaines.
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Petite sir?e
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Francis Cabrel |